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                    Se fiancer

Les fiançailles dans la Bible :
Deutéronome 20.7 –
Esaïe 62.5 –
2Corinthiens 11.2 –
Apocalypse 19.7 –

Un temps de préparation, garanti par une promesse, avec un signe qui en est le symbole, cf. Ephésiens 1.13.

Un temps d’attente. Notre culture : tout et tout de suite. A cause de cela : perte de valeurs, de discipline et de maîtrise, de force de caractère et en fin de compte, de fidélité. Plus un but est élevé, plus il requiert de la préparation. Analysez ce thème de l’attente dans la Bible à l’aide d’une concordance ou d’un dictionnaire.

Un temps ultime de mise à l’épreuve avant de s’engager pour toujours. Questions à se poser : Où habiter ? Changer d’église à cause de cela ? Quel engagement dans l’église ? Et les finances, les comptes… ? Quelles idées sur avoir des enfants ? Planning familial ?

 

La croissance vers le mariage selon W. Trobisch, Je t’ai aimé.

Les 3 éléments de Genèse 2.24 sont liés dans un ordre précis. Cela commence avec l’attachement (l’amour) pour croître ensuite de façon plus ou moins égale vers les deux autres angles du triangle :

Les fiançailles sont la période où cettecroissance va atteindre en même temps la coupure définitive entre le nouveau couple et les parents respectifs (= mariage civil/religieux) et l’intimité entière qu’est l’union sexuelle.

Le développement normal, logique, est donc une progression qui part de l’attachement, l’amour, vers les deux autres angles. (Mais il y a des cultures où la famille arrange le mariage et où le début de la relation maritale se trouve dans les deux autres angles du triangle.)

Dans notre monde moderne, le “s’attacher” est suivi de très très près du “devenir une seule chair”. Le résultat est une relation souvent peu profonde et une cassure plus ou moins rapide. C’est une illustration typique de ce monde qui préfère la chair à l’esprit.

Le mariage est pour la vie. C’est un des changements majeurs de notre vie et une bonne préparation n’est pas de trop !

Se marier


Il n’est pas fou celui qui perd ce qu’il ne peut garder, afin de gagner ce qu’il ne peut perdre. (Jim Elliot)